Têtes de lit
Droits:
Réservés
Crédits:
Cristina Tosatto
Année de la prise de vue:
2012-2013
Type d'œuvre:
dessin
Auteur:
Louis Rivier
Transcription de signature:
Non-signé
Emplacement: —
Remarques sur la signature: —
Description iconographique:

Ce dessin, faisant partie d’un carnet, est consacré à la représentation de plusieurs têtes de lit. Celles-ci occupent l’espace de la feuille de manière libre. Parmi les six variantes, on observe deux têtes de lit de forme élaborée avec deux colonnes latérales et une décoration centrale.

Les études sont réalisées d’un trait rapide, mais clairement exprimé. Elles se lisent comme un chantier d’exploration et de recherche.

Dans un autre dessin du même carnet, Rivier étudie plus précisément la décoration d’une tête de lit.

On sait que durant de nombreuses années, Louis Rivier a consacré plusieurs pages d’agenda et des dessins à la représentation d’éléments de mobilier et d’objets de décoration appartenant à l’intérieur de la maison. Sans doute ces objets faisaient-ils partie de son environnement familier. Ce carnet datant de 1911, on peut supposer que Rivier conçoit les meubles pour l’installation de son couple dans la maison de Jouxtens, après son mariage avec Julie en septembre 1911.

Type de composition:
étude
Dimensions (en cm)
Hauteur:
15 cm
Largeur:
23 cm
Profondeur: —
Dimensions montage (en cm)
Hauteur: —
Largeur: —
Profondeur: —
État de l'œuvre:

Bon état. Feuille jaunie. Présence d’une étiquette collée dans le coin inférieur gauche de la feuille.

Inscription(s) notable(s): —
Technique:
mine de plomb
Support de l'œuvre:
papier
Commentaires techniques: —
Lieux de création:
Jouxtens-Mézery
Lieu de conservation:
Collection privée, Genève
Provenance: —
Date de création:
1911
Commentaires sur le lieu et la datation:

En 1911, Louis Rivier épouse Julie de Rham. Le couple s’installe à Jouxtens dans la maison où William Rivier, le père de Louis, a fait construire un atelier. Au printemps, l’artiste séjourne en Italie, à Rome, Florence, Ravenne, Padoue et Venise. Il expose dans les Galeries du Commerce à Lausanne et à Paris, à l’invitation d’Eugène Burnand, au Pavillon de Marsan dans l’Exposition d’art religieux de la Société de Saint-Jean.

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