Vue d'ensemble des six verrières.
ACV SB 52 Dd 2/1
Détail. Verrière gauche du rang supérieur: Le Divin Semeur.
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Seul le vitrail suivant, réalisé par Louis Rivier et François de Ribaupierre, comporte une signature : Le Divin Semeur, signé et daté en bas à droite : « Rivier et Ribaupierre » et en bas à gauche : « Guignard et Schmit. Lausanne 1933 ».
Voici les thèmes principaux des vitraux de la cathédrale de Lausanne réalisés par Louis Rivier.
Les neuf fenêtres hautes du chœur illustrent le thème de la divinité du Christ. Le programme iconographique complet comprend : La Lutte de Jacob avec l’ange, Moïse et les tables de la Loi, David et Goliath, La Prophétie d’Esaïe, Jésus-Christ Roi (situé au centre), La Transfiguration du Christ, La Tentation du Christ, Le Baptême du Christ et Gloria in excelsis.
Les deux fenêtres de la face orientale (des croisillons nord et sud) illustrent respectivement : La Vocation d’Abraham et Adam et Eve chassés du Paradis.
Les six fenêtres de la face septentrionale (du croisillon nord), conçues avec François de Ripaupierre, se disposent sur deux rangs. Sur la galerie supérieure sont représentés : Le Divin Semeur, La Sainte Cène et Le Divin Vigneron. Sur la galerie inférieure, La Vie agricole : Joseph distribuant le blé, La Vie pastorale : Jacob gardant ses troupeaux et La Vie viticole : les messagers de Moïse rapportant la grappe de Canaan.
Voici, en particulier, la description de ces six dernières verrières.
Les trois fenêtres inférieures du croisillon nord représentant La Vie agricole, La Vie viticole et la Vie Pastorale, reprennent les thèmes du rang supérieur avec le Christ sous les traits du Divin Semeur, le Christ-Divin Vigneron ainsi que le Christ offrant le pain et le vin lors de la Sainte Cène. Cette dernière verrière, représentant l’eucharistie, réunit tous les vitraux de la face septentrionale autour des thèmes du blé et du raisin, proposés ici sous la forme de leurs produits symboliques : le pain et le vin.
Sous recommandation de la Commission des vitraux de la cathédrale, et diversement du projet initial de Rivier et de Ribaupierre, dans le vitrail de La Sainte Cène, l’iconographie est réduite à l’essentiel. La figure du Christ occupe la quasi-totalité de l’espace : une fenêtre en ogive. Toute l’attention du spectateur se focalise ainsi sur les gestes eucharistiques : Jésus tient le pain de sa main droite et le ciboire de la gauche. Son regard se tourne vers le sol, son expression est absorbée. Ses jambes oscillent en un léger contrapposto qui dynamise sa posture, parfaitement symétrique et frontale. Le Christ est habillé d’une longue tunique bleu azur et d’un châle, tous deux richement décorés. Ses pieds chaussés de sandales reposent sur un pavement coloré. Sa tête est entourée d’une auréole dont les trois rayons symbolisent la Trinité. Sa figure est encadrée par un arc et un tympan au-dessus duquel, en correspondance de l’ogive, on note la représentation stylisée d’une cathédrale à l’architecture hybride, agençant des motifs orientalistes (coupoles) et occidentaux (rosace et tympan). Les bordures de la fenêtre présentent une décoration géométrique organisée en une longue frise. La gamme chromatique est riche, principalement constituée de couleurs froides allant du bleu marine au bleu azur avec quelques notes vertes. Le rouge, le bordeaux, l’orange et le jaune illuminent la palette et la font scintiller.
Au rang inférieur, en position centrale, sur le même axe que La Sainte Cène, se trouve le vitrail La Vie pastorale : Jacob gardant ses troupeaux, inspiré par l’épisode biblique suivant : « Genèse 30 : 25-43 : A l’étranger depuis des années, Jacob ne gagne guère sa vie mais souhaite rentrer au pays de Canaan. Il atteindra son but au moyen d’un marché passé avec son maître [Laban] lui accordant [comme salaire] ses bêtes tachetées, mais, déloyal, Laban retire celles-ci du troupeau. Jacob parvient cependant, grâce à une ruse, à les faire se multiplier : les brebis mettent bas de petits agneaux rayés ou mouchetés. Ce miracle est symbolisé ici par la brebis et son agneau […] ». (Sophie Donche Gay, Les vitraux du XXesiècle de la cathédrale de Lausanne, p. 83).
Voici le thème de ce vitrail de forme rectangulaire. Rivier et de Ribaupierre mettent en scène un Jacob très jeune, assis vraisemblablement sur une roche, une main sous le menton, l’air absorbé, tenant mollement son bâton de berger. La partie inférieure du vitrail est consacrée à la représentation de la brebis et de l’agneau. Ce dernier semble adresser son museau vers le pasteur. A l’arrière-plan, le ciel est une mosaïque de verres bleus interrompues par des motifs géométriques circulaires. La gamme chromatique est dominée par différentes nuances de bleu, de jaune (beige, ocre, orange, marron) et de rouge. Les riches ornements des frises semblent dépasser les bordures de la fenêtre pour fondre et se confondre avec les décorations des habits, le rendu de la terre et du pré, le poil de la brebis. Ces deux derniers éléments iconographiques, le pré et la brebis, prennent vie à partir d’un assemblage serré de verres aux formes arrondies.
Au rang supérieur, à gauche, se trouve le vitrail illustrant la parabole du Divin Semeur : « […] si le grain de blé qui tombe en terre ne meurt pas, il reste seul ; si au contraire il meurt, il porte du fruit en abondance. [...] » (Jean 12 : 24-26, cité par Sophie Donche Gay, Les vitraux du XXe siècle de la cathédrale de Lausanne, p. 84).
Le Christ de Rivier et de Ribaupierre occupe la quasi-totalité de l’espace : une fenêtre présentant une partie supérieure arquée, partiellement cachée par une arcature. Une jambe devant l’autre, le Christ est en train de marcher. Les pieds sont partiellement hors champ et cela procure un léger effet de mouvement malgré le hiératisme de la figure. Le Christ porte une sacoche, qu’il tient de sa main gauche, tandis qu’avec l’autre, il en sort des graines à jeter au sol. Sa tête parfaitement de profil rappelle autant le style des médailles antiques que celui des icônes, avec sa grande auréole circulaire rayonnante. Le mouvement des pieds, le geste de la main plongée dans le sac, le drapé allant vers la gauche comme agité par une brise, sont des détails réalistes dans une composition fortement symbolique. La tunique du Christ est ornée de motifs géométriques colorés formant des frises. Celles-ci résonnent avec les riches décorations des bordures et avec l’arrière-plan : une mosaïque de verres bleus agrémentés par plusieurs oiseaux stylisés rouge et orange. Le sol est un pavement géométrique à losanges. La gamme chromatique se compose de couleurs chaudes et froides. Ensemble, elles décrivent une atmosphère crépusculaire bleutée et orangée. Dans la partie inférieure, en caractères majuscules, bleus, on lit : LE DIVIN SEMEUR. On connait deux autres versions du Divin Semeur représentés par Rivier, l’une dans le vitrail du temple de Denezy (1925) l’autre dans celui de Bretonnières (1923).
Au rang supérieur, à droite, en position spéculaire au Divin Semeur, se trouve le vitrail illustrant la parabole du Divin Vigneron : « […] Je suis la vraie vigne et mon Père est le vigneron. Tout sarment qui, en moi, ne porte pas de fruit, il l’enlève, et tout sarment qui porte du fruit, il l’émonde, afin qu’il en porte davantage encore. » (Jean 15 : 1-7, cité par Sophie Donche Gay, Les vitraux du XXe siècle de la cathédrale de Lausanne, p. 84). La figure du Christ occupe la quasi totalité de l’espace : une fenêtre présentant une partie supérieure arquée, partiellement cachée par une arcature. Il a le corps en position frontale, le visage de trois-quarts et les jambes oscillant en un léger contrapposto. Ses pieds chaussent des sandales et reposent sur un sol à losanges. Le Christ porte une longue tunique avec d’amples manches. Il tient une petite faucille, une corde…et deux feuilles de vigne... (je n’arrive pas très bien à comprendre on ne voit pas bien sur place non plus). Je n’arrive pas à voir non plus. Mais ce que tu vois semble ok. Sa tête est entourée d’une auréole circulaire dans laquelle est inscrite un triangle. Dans le symbolisme religieux, ce type d’auréole est généralement attribué à Dieu, tandis que celle avec les trois rayons, symbolise la Trinité. Le texte biblique, associe le Père au vigneron et Jésus à la vigne. Peut-être, le choix de cette auréole mixte, avec la croix et le triangle, indique la présence réelle du Christ et, en même temps, celle spirituelle de Dieu.
Les bordures du vitrail sont décorées d’une frise aux motifs géométriques. Le dessin formé par les ornements est similaire à celui des frises du Divin Semeur, mais non identique : il s’agit d’une variation sur un même thème décoratif. Un dialogue harmonieux, rendu par la symétrie, s’instaure ainsi entre ces deux verrières. Dans la partie inférieure, en caractères bleus majuscules, on lit : LE DIVIN VIGNERON.
Au rang inférieur, à gauche, se trouve le vitrail La Vie agricole : Joseph distribuant le blé. « Genèse 47 : 13-26 : Alorsque la famine sévit dans le pays d’Egypte, Joseph parvient à nourrir le peuple et à enrichir le pharaon grâce à une politique d’échange très particulière : de la nourriture contre du bétail ou du terrain. Cette abondance et l’autorité du souverain est représentée ici par l’activité des serviteurs, qui s’affairent à remplir les jarres de blé, ainsi que par le geste du pharaon, assis sur un trône […] » (Sophie Donche Gay, Les vitraux du XXe siècle de la cathédrale de Lausanne, p. 82).
Pour ce vitrail, Rivier et de Ribaupierre privilégient des pièces de verre minces et allongées. Celles-ci s’assemblent en architectures rainurées, tissus rayés, objets formés par plusieurs cordes, bandes et plis superposés. Cela se voit dans la décoration de la tour derrière le pharaon, au couvre-chef du souverain, à ses habits, aux turbans des serviteurs, aux drapés de leurs habits, à la palme du sceptre, au panier en corde dans le coin inférieur gauche du vitrail et au tonneau sur la droite. Cette composition est riche et dynamique. Le pharaon est assis, tourné de trois-quarts, l’un des deux serviteurs est représenté de dos, l’autre de face. On imagine la présence d’autres personnes situées hors champ : au centre, à droite, on voit apparaître une main tenant le grand sceptre. Le résultat est foisonnant : la multiplication de pièces de verre, fines et rectangulaires, orientées en plusieurs directions, agite le regard du spectateur. Ce dernier parcourt la surface du vitrail, captivé par la multitude d’éléments iconographiques et décoratifs. La fenêtre est entourée d’une frise dont la riche décoration, constituée de motifs en forme de palmettes, reprend celle de l’éventail du sceptre. La gamme chromatique est riche, constituée principalement de bleu azur, bleu marine, de jaune, de turquoise, de rouges déclinés en plusieurs nuances : rose, violet, rouge carmin, orangé.
Au rang inférieur, à droite, se trouve le vitrail La Vie viticole : les messagers de Moïse rapportant la grappe de Canaan. « […] les espions envoyés par Moïse à la demande de Dieu ramènent de luxuriantes grappes de raisin du pays de Canaan ; le peuple cependant refusera d’y entrer. » (Sophie Donche Gay, Les vitraux du XXe siècle de la cathédrale de Lausanne, p. 82).
Deux personnages masculins dessinés en perspective se tiennent l’un devant l’autre, marchent sur un pavement à losanges et transportent des grandes grappes de raisin à l’aide d’une perche. Ils portent des habits somptueux : des tuniques, des châles et des turbans richement décorés. « La mosaïque du sol et l’apparat des vêtements évoquent davantage un univers de cour qu’une errance dans le désert ». (Sophie Donche Gay, Les vitraux du XXe siècle de la cathédrale de Lausanne, p. 82). Au-dessus de leurs têtes, dans la partie supérieure de la composition, l’espace est entièrement dévoué à la représentation de plusieurs grappes de raisin. La décoration de la frise des bordures résonne avec les motifs à losanges du sol. La pointe du pied droit d’un serviteur est cachée derrière la bordure inférieure de la fenêtre et cela génère un effet de profondeur et de trompe l’œil. La gamme chromatique est dominée par les bleus et les verts, couleurs du raisin.
Cette verrière, symétrique à la précédente, est riche, dynamique et foisonne de détails. Par exemple, grâce à leurs formes arrondies et répétitives, à leur coloration, et à leur présence imposante dans la composition les grappes de raisin sont autant des éléments iconographiques qu’ornementaux. Ce vitrail est, certes, une illustration de l’épisode biblique, mais est aussi un hymne à la nature. L’influence de l’Art Nouveau se fait ressentir dans cette majesté décorative en lien avec la représentation de nature.
« Les onze verrières de Rivier ainsi que les six verrières de Rivier et Ribaupierre magnifient et transfigurent les figures des patriarches, des prophètes et du Christ lui-même. Par un jeu très étudié de formes et de couleurs, comparable à celui d’un tissu ou d’une mosaïque, la composition leur confère un éclat céleste. Le découpage régulier des verres, l’usage d’une palette vive aux couleurs limitées, l’emploi de la grisaille pour simuler des cabochons ou des perles, une grande recherche décorative, obtenue par des enlevés, des rehauts au jaune d’argent et à l’émail, donnant aux vêtements la somptuosité d’un habit de cour, de velours, de brocart ou de soie, agrémentée d’un grand faste de broderie, de surpiquage, de franges et d’incrustations ; l’adjonction enfin d’une bordure à motifs géométriques, à palmettes et à perles : tout vise à la splendeur et à l’opulence. Par la mise en œuvre de ces moyens formels, ces verrières scintillent et flamboient comme des pierres précieuses, comparables aux verrières du Moyen Age. » (Sophie Donche Gay, Les vitraux du XXe siècle de la cathédrale de Lausanne, p. 80).
Bon état.
Les six fenêtres de la face septentrionale présentent des dimensions variables. Notamment, Le Divin Semeur, 365 x 100 cm ; La Sainte Cène, 373,5 x 99 cm ; Le Divin Vigneron, 369 x 100 cm ; La Vie agricole : Joseph distribuant le blé, 213,5 x 99 cm ; La Vie pastorale : Jacob gardant ses troupeaux, 217 x 98 cm et La Vie viticole : les messagers de Moïse rapportant la grappe de Canaan, 220 x 98,5 cm.
La Sainte Cène, dédicace : « Donné par l’Eglise nationale ».
Le Divin Semeur, dédicace : « Donné par les Caisses Raiffeisen vaudoises ».
Le Divin Vigneron, dédicace : « Donné par l’Eglise libre ».
Pour la réalisation des vitraux de la Cathédrale de Lausanne, « Rivier renonce d’emblée à l’usage du verre antique et met au point en collaboration avec l’atelier Guignard et Schmit un procédé original qui garantit la simplification des étapes nécessaires à la confection du vitrail : il se sert de verres industriels et définit un langage codé qui permet d’en tempérer l’éclat dur et violent. Après un tri sévère, Rivier choisit un certain nombre de feuilles dont les teintes lui paraissent propices à créer l’atmosphère harmonieuse puis les numérote. Il reporte ces mêmes numéros sur les calibres des cartons, ordinairement exécutés en noir. Les verriers vont ensuite les interpréter sans aucune marge d’erreur. Grâce à cette méthode codée, rapide et économique, il ne se rend plus guère à l’atelier Guignard et Schmit que pour poser la grisaille. Il dissocie par là son travail de peintre de celui des verriers et renonce, tout au contraire de Poncet, à réunir les deux métiers. Ce procédé quasi mathématique explique aussi la cohérence chromatique de l’ensemble des vitraux du chœur et du transept ». (Sophie Donche Gay, Les vitraux du XXe siècle de la cathédrale de Lausanne, p. 69).
Les six verrières ont été réalisées en 1933 par l’atelier Guignard et Schmit à Lausanne.
Voici aussi les principales étapes de la réalisation des vitraux de la cathédrale de Lausanne.
En 1918, un concours est lancé pour la réalisation de nouveaux vitraux à la Cathédrale de Lausanne. Le comité de restauration s’adresse à trois artistes : Ernest Biéler, Louis Rivier et Marcel Poncet. Pour son projet, Rivier s’inspire des vitraux de la Cathédrale de Chartres.
En 1919, la commission se réunit pour examiner les maquettes des trois participants et émet de nombreuses critiques. La proposition de Rivier est jugée confuse et mal équilibrée. Poncet, jeune artiste genevois, gagne le premier prix. Il reçoit des éloges, mais aussi des remarques négatives.
Rivier rédige un mémoire polémique : il regrette l’absence d’un artiste au sein de la commission et accuse celle-ci d’incompétence en matière d’histoire de l’art et de pratique du vitrail. Cet acte ne modifie pas l’issue du concours. Deux verrières sont attribuées à Poncet, dont une représentant les quatre évangélistes. Le vitrail est exécuté et mis en place. Le résultat final est controversé et la polémique autour du projet grandit.
En 1926, la commission des vitraux organise un deuxième concours sur appel. Parmi les concurrents : Rivier et Poncet. La candidature de ce dernier n’est pas retenue. La répartition des vitraux se fait entre Louis Rivier, Charles Clément, Alexandre Cingria, François de Ribaupierre et Edmond Bille.
Rivier est, quant à lui, félicité : par les paroles de l’historien Eugène Bach, qui le juge comme étant « le seul apte à exécuter un travail aussi considérable et aussi difficile », et par la commission elle-même qui lui confie la partie la plus importante du projet, c’est-à-dire les neuf fenêtres hautes du chœur illustrant la divinité du Christ. Les vitraux sont exécutés par l’atelier Guignard et Schmit à Lausanne entre 1930 et 1931.
En 1931, Louis Rivier signe la convention pour la face orientale des croisillons nord et sud et réalise les cartons suivants : La Vocation d’Abraham et Adam et Eve chassés du Paradis. Les vitraux sont exécutés par le même atelier en 1932.
La même année, Louis Rivier est mandaté avec François de Ribaupierre (1886-1981) pour la réalisation des six fenêtres de la face septentrionale du croisillon nord. L’exécution des vitraux a lieu entre 1932 et 1933, toujours par l’atelier Guignard et Schmit.
Les commentaires de la presse au sujet des vitraux de Rivier sont prudents, voire inexistants. En revanche, les instances officielles approuvent et applaudissent son œuvre. Une œuvre qui crée le lien entre foi et inventivité et « qui cherche à atteindre l’intemporel, la grâce pacificatrice d’un monde transfiguré ». (Sophie Donche Gay, Les vitraux du XXe siècle de la cathédrale de Lausanne, p. 129).
Les vitraux de la cathédrale de Lausanne appartiennent au Canton de Vaud. Les photographies et les diapositives des vitraux font partie d’un fond appartenant aux Archives Cantonales Vaudoises, dont voici la cote précise : ACV SB 52 Dd 2/1.
- Fiche 346 - Les vitraux de la cathédrale de Lausanne
- Fiche 347 - Carton pour un vitrail de la cathédrale de Lausanne
- Sophie DONCHE GAY. 1994. Les vitraux du XXe siècle de la cathédrale de Lausanne, Lausanne : éditions Payot., p.81-84
- Dario GAMBONI. 1985. Louis Rivier (1885-1963) et la peinture religieuse en Suisse Romande, Lausanne: Payot , p.114-115
- Richard HEYD. 1943. Rivier, Neuchâtel et Paris : Editions Delachaux et Niestlé, p.105-112